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Aquila Non Capit Muscas (Epomanduodurum)

Partitions pour orchestre d’harmonie.
Article no.: | HFB765 |
---|---|
Compositeur: | Maxime Aulio |
Niveau: | 5 |
Durée: | 08:00 |
Editeur: | HaFaBra Music |
Video: |
Disponible dans ces catégories
190,75 €
TTC
Disponibilité :
Pas en stockExpédié :
Envoyé dans 10 jours ouvrableCommande de l’Orchestre d’Harmonie de Beaulieu-Mandeure à l’occasion de son 130ème anniversaire. Impressions et imagination autour de l’histoire antique de la ville de Epomanduodurum (aujourd’hui l’agglomération de Mandeure - Mathay) et son théâtre qui fut l’un des plus grands de l’époque gallo-romaine (à partir du IIe siècle avant J.C.), et de son évolution jusqu’à une ville - Mandeure - qui se constitue République indépendante après la Révolution, avec la devise «Aquila Non Capit Muscas» (l’aigle ne prend pas la mouche).
La partition ne décrit aucun événement en particulier, mais tente de créer un imaginaire sonore autour de celui créé par l’histoire de cette ville.
Les archéologues travaillant notamment autour du théâtre antique, ont découvert des instruments de musique utilisés longtemps par les gaulois, les romains et les celtes, avec des déclinaisons différentes selon la géographie, sous la forme de «trompettes», droite ou courbes, pour sonner les événements et cérémonies, éventuellement militaires. Ici, à Epomanduodurum, on sonnait les Carnyx (comme à Tintignac), trompettes droites à têtes de sangliers (animal noble alors). Un de ces instruments, restauré, est utilisé pour la réalisation de l’œuvre. Comme dit plus haut, étant donné l’impression, l’imaginaire créé, il est tout à fait possible de transposer cela vers une autre histoire et utiliser une autre «trompette» antique (tuba romaine, etc.).
La partition ne décrit aucun événement en particulier, mais tente de créer un imaginaire sonore autour de celui créé par l’histoire de cette ville.
Les archéologues travaillant notamment autour du théâtre antique, ont découvert des instruments de musique utilisés longtemps par les gaulois, les romains et les celtes, avec des déclinaisons différentes selon la géographie, sous la forme de «trompettes», droite ou courbes, pour sonner les événements et cérémonies, éventuellement militaires. Ici, à Epomanduodurum, on sonnait les Carnyx (comme à Tintignac), trompettes droites à têtes de sangliers (animal noble alors). Un de ces instruments, restauré, est utilisé pour la réalisation de l’œuvre. Comme dit plus haut, étant donné l’impression, l’imaginaire créé, il est tout à fait possible de transposer cela vers une autre histoire et utiliser une autre «trompette» antique (tuba romaine, etc.).
HaFaBra Music, N° 765 2019-2020